Fondée en 2006 par Flore et Romain Degoul, la Galerie Paris-Beijing est dédiée à la photographie contemporaine internationale et dispose d’un espace d’exposition à Paris mais aussi d’une galerie de 300m2 à Dashanzi.
La galerie représente des artistes, dont la créativité originale et conceptuelle associe recherche esthétique et maitrise technique, offrant des clichés travaillés et uniques.
« Passerelle entre Paris, ville pionnière de la photographie, et Pékin, qui se positionne aujourd’hui comme scène artistique majeure, elle oriente sa programmation selon deux objectifs principaux :
● Découvrir et promouvoir au niveau international une nouvelle génération de photographes chinois, artistes confirmés et jeunes talents prometteurs.
● Offrir à des photographes occidentaux de renom une représentation et une visibilité auprès du public chinois, alors que leurs noms, comme leurs oeuvres sont encore méconnus.
Passionnée et dynamique, la Paris-Beijing soutient particulièrement la nouvelle création qui rejoindra demain les principales collections publiques et privées ; elle publie des livres et catalogues d'exposition de ses artistes et participe activement à de nombreux festivals et foires d'art contemporain de par le monde.
Enfin, la galerie qui constitue une importante collection témoignant de la richesse de la création contemporaine chinoise, est heureuse d'apporter son expertise a toute personne qui souhaiterait la découvrir ou élargir une collection personnelle. »
Source : Galerie Paris-Beijing
Zoom sur des artistes
Liu Bolin
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| Forklift, 2008 |
Liu Bolin, jeu de cache-cache.
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| Construct harmonious society together, 2007 Supermarket, 2009 |
La Galerie Paris-Beijing expose Liu Bolin via sa série « Hiding in The City ».
"Liu Bolin, artiste contestataire de la nouvelle génération, est une référence artistique en Chine tout comme à l’international. Parallèlement à son travail de sculpteur, il développe sa première série photographique en 2005, lors de la destruction du village de Suojiacun et de son atelier par les autorités. Profondément marqué par cette injustice, il prend conscience de la fragilité de l’individu face au système. C’est ainsi que sa célèbre série « Hiding in the City » voit le jour avec sa première photographie « Village So », où il pose devant son atelier détruit.
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| Bird's ned, 2009 Forbidden city, 2010 |
Liu Bolin utilise son corps comme un moyen d’expression ; photographe performeur, il se fond dans son environnement, tel un animal. Assisté de ses collaborateurs, il se positionne dans un décor qu’il a choisi préalablement et reste immobile parfois des heures tandis que ses assistants le peignent pour obtenir un camouflage parfait. Cet acte d’évaporation génère un rapport tragique et conflictuel entre le sujet et son environnement.
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| Civilian and Policeman No 1, 2006 Pile of bricks, 2009 |
Cette série « Hiding in the City » est une profonde et sensible réflexion sur la condition humaine. « Je ne voulais pas me fondre dans le paysage, mais au contraire, c’est l’environnement qui m’a envahi », explique l’artiste. Il ne cherche pas une manière de disparaître pour montrer la perte d’une conscience individuelle, mais insiste sur les dégâts causés par le développement économique et urbain sur les individus, une sorte d’emprise silencieuse, où l’homme a perdu sa capacité d’adaptation."
Ruud Van Empel
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| World, Boy and Girl, 2008 |
Rud Van Empel est né le 21 novembre 1958 à Breda (Pays-Bas). Il a suivi une formation en design graphique entre 1976 et 1981 à l’École des Beaux-Arts St. Joost à Breda, où il a obtenu son diplôme mention très bien.
A première vue, Ruud Van Empel semble créer de simples images, que l’on pourrait croire de synthèse, mais ce serait sous-estimer les étapes préalables de son travail.
La méthode de travail utilisée est très complexe. : Ruud Van Empel capture les végétaux, les animaux, les vêtements ainsi que les sujets centraux de ses compositions un à un, afin de constituer les collages qui donneront naissance à ses œuvres via photoshop.
Le résultat photographique obtenu est très pictural. Un univers onirique et mystérieux s’impose à la vue du spectateur. Ses sujets de prédilection, les enfants (du nouveau né à l’adolescent) donnent une dimension intemporelle à ses œuvres troublantes.
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| World 23, 2006 |
Kyung Soo Kim
The Full Moon Story
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| The full moon story, 04, 2008 |
Cette série intitulée "l'histoire de la pleine lune" provient d'une commande de Vogue faite à Kym Kyoung Soo afin d'apporter un regard nouveau sur l'habit traditionnel coréen. Le Hanbok que portent les modèles associé à un cadre des plus sobre et des coupes de cheveux stylisées donnent à l'ensemble de ces clichés une atmosphère particulière, hors du temps comme suspendus. On est happé par des clichés d'une réelle profondeur, fruit d'un travail artistique recherché. Le grand photographe de mode qu'est Kyung Soo Kim fait preuve ici de son talent à travers ses clichés aux tons si doux.
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| The Full moon story, 02, 2008 |
Ces photographies permettent de plus de faire connaitre le méconnu Hanbok aux yeux du monde.
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| The full moon story, 07, 2008 |
"Il n'y a que trente ou quarante ans de cela, les coréens portaient encore le hanbok tous les jours . Comme tous les vêtements, le hanbok changea aussi au fil des années, selon les modes. Le hanbok que l'on porte aujourd'hui s'inspire de celui porté à la fin de la Dynastie Joseon (début du 20 ème siècle).
Les lignes courbes sont importantes dans le hanbok . N'étant pas un vêtement qui colle au corps, la beauté du hanbok réside dans l'élégance et le style créé par ses formes généreuses. Ses courbes et couleurs vives ont eu un impact important sur l'industrie de la mode coréenne.
Les hanboks combinant costumes traditionnels et mode contemporaine ne tardèrent pas à faire leur apparition. Le design et motifs du hanbok ont également influencé l'architecture et d'autres domaines.
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| The full moon story 03, 2008 |
Bien qu'aujourd'hui le hanbok ne se porte que lors des fêtes traditionnelles, l'amour des coréens pour le hanbok est immense. La popularité des séries TV historiques fait que de plus en plus d'étrangers s'intéressent également à l'habit traditionnel coréen."
Source : La Corée inspire.
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| The full moon story 10, 2008 |
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Paris
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( M° Arts et Métiers )
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Email : galerieparisbeijing@gmail.com
Horaires d'ouverture :
Du mardi au samedi, de 11h à 19h
Pékin
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Email : galerieparisbeijing@gmail.com
Horaires d'ouverture :
Du mardi au dimanche, de 11h à 19h
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